Le Moufti de La Mecque Ibn Houmayd dénonce Mouhammad Ibn ‘Abdi l-Wahhâb

Sujet : l’égarement de Mouhammad Ibn ‘Abdi l-Wahhâb

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Dans son recueil de biographies de savants Hambalites intitulé « As-Souhoubou l-Wâbilah ‘alâ Darâ’ih Al-Hanâbilah » (pages 275-276 de cette édition), le Chaykh Ibn Houmayd Al-Hanbali An-Najdi mentionne la biographie du Chaykh ‘Abdoul-Wahhâb [Le père de Mouhammad ibn ‘Abdil-Wahhâb, le fondateur de la religion wahhabite] dans laquelle il dit :

قرأ في الفقه على أبيه صاحب المنسك المشهور و على غيره و حصل و تفقه ودرس و كتب على بعض المسائل الفقهية كتابة توفي سنة ١١٥٣

وهو والد محمد صاحب الدعوة التي انتشر شررها في الافاق، لكن بينهما تباين مع أن محمدًا لم يتظاهر بالدعوة إلا بعد موت والده،

وأخبرني بعض من لقيته عن بعض أهل العلم عمّن عاصر الشيخ عبد الوهاب هذا أنه كان غضبان على ولده محمد لكونه لم يرض أن يشتغل بالفقه كأسلافه وأهل جهته ويتفرس فيه أن يحدث منه أمر، فكان يقول للناس: يا ما ترون من محمد من الشر، فقدّر الله أن صار ما صار،

وكذلك ابنه سليمان أخو الشيخ محمد كان منافيًا له في دعوته ورد عليه ردًا جيدا بالآيات والآثار لكون المردود عليه لا يقبل سواهما ولا يلتفت إلى كلام عالم متقدمًا أو متأخرا كائنا من كان غير الشيخ تقي الدين بن تيمية وتلميذه ابن القيم فإنه يرى كلامهما نصّا لا يقبل التأويل ويصول به على الناس وإن كان كلامهما على غير ما يفهم،

وسمى الشيخ سليمان رده على أخيه « فصل الخطاب في الرد على محمّد بن عبد الوهاب » وسلّمه الله من شرّه ومكره مع تلك الصولة الهائلة التي أرعبت الأباعد، فإنه كان إذا باينه أحد ورد عليه ولم يقدر على قتله مجاهرة يرسل إليه من يغتاله في فراشه أو في السوق ليلا لقوله بتكفير من خالفه واستحلاله قتله،

وقيل إن مجنونًا كان في بلدة ومن عادته أن يضرب من واجهه ولو بالسلاح، فأمر محمدٌ أن يعطى سيفًا ويدخل على أخيه الشيخ سليمان وهو في المسجد وحده، فأدخل عليه فلما رءاه الشيخ سليمان خاف منه فرمى المجنون السيف من يده وصار يقول: يا سليمان لا تخف إنك من الآمنين ويكررها مرارا، ولا شك أن هذه من الكرامات

« Il a étudié la jurisprudence auprès de son père, l’auteur du célèbre livre Al-Mançak, ainsi qu’auprès d’autres professeurs, et il a acquis de la science. Il a composé des ouvrages bien écrits traitant de certaines questions juridiques. Il est mort en l’an 1153 de l’Hégire. »

Puis suite à cela il dit :

« Et il est le père de Mouhammad [Ibn ‘Abdi l-Wahhâb], le fondateur du mouvement dont les méfaits se sont répandues dans tous les horizons, mais il y a une grande différence entre eux. Mouhammad n’a montré sa prédication qu’après la mort de son père.
L’un de ceux que j’ai rencontré m’a informé d’après les gens de science qui vivaient à la même époque que ce Chaykh ‘Abdi-l Wahhâb, était en colère contre son fils Mouhammad, pour la raison qu’il ne voulait pas s’occuper d’apprendre le Fiqh (jurisprudence) comme ses aïeux et les gens de sa région, et il pressentait que quelque chose de blâmable allait survenir de lui, alors il disait aux gens : « Qu’est-ce que vous allez voir comme mal de la part de Mouhammad ! » et il s’est passé ce qui s’est passé conformément à la prédestination de Allâh.

Egalement, son [autre] fils Soulaymân, le frère de Mouhammad [Ibn ‘Abdi l-Wahhâb], était lui aussi opposé à sa prédication. Et il l’a réfuté de belle manière, par des versets (âyah) et des traditions (âthâr), car celui qu’il réfutait (Mouhammad Ibn ‘Abdi l-Wahhâb) n’acceptait rien d’autre, et ne faisait attention à la parole d’aucun Savant, parmi les anciens ou les contemporains, quel qu’il soit, sauf Ibn Taymiyah et son élève Ibn Al-Qayyim, car il considérait leurs paroles comme des textes n’acceptant aucune interprétation. Et il se contentait de ça parmi les gens, même si leurs propos étaient autres que ce qu’il comprenait.

Et le Chaykh Soulaymân a nommé sa réfutation à l’encontre de son frère « Faslou l-Khitâb fi r-radd ‘alâ Mouhammad Ibn Abdi l-Wahhâb » (le Discours tranchant dans la réfutation de Mouhammad Ibn Abdi l-Wahhâb).

Et Allâh l’a préservé de son mal et de sa ruse [provenant de Mouhammad Ibn ‘Abdi l-Wahhâb], malgré cette terrible tyrannie qui a horrifiée même les habitants des contrées lointaines. Car ce qu’il (Mouhammad Ibn ‘Abdi l-Wahhâb) faisait quand quelqu’un le contredisait et le réfutait et qu’il était dans l’incapacité de le tuer au grand jour, il envoyait quelqu’un pour le tuer dans son lit ou dans le marché, de nuit, parce qu’il considérait mécréant tout ceux qui était en désaccord avec lui et il rendait licite son assassinat.

On dit qu’il y avait un fou dans un village, qui avait pour habitude de frapper quiconque lui faisait face, même si il était armé. Alors Mouhammad [Ibn ‘Abdi l-Wahhâb] a ordonné qu’on donne à ce fou une épée et qu’on le fasse entré dans la Mosquée où se trouvait seul son frère le Chaykh Soulaymân, alors on le fît entrer, et quand le Chaykh Soulaymân l’a vu il a eu peur de lui. Mais le fou jeta son épée et s’est mit à dire : « Ô Soulaymân n’ait crainte, tu fais partie des gens protégé », et il s’est mit à répéter ça plusieurs fois.  Il n’y a aucun doute que ceci une Karâmah (prodige)… ».

Informations utiles :

– L’Imâm, l’illustre savant, le Chaykh Mouhammad Ibn ‘Abdi l-Lâh Ibn Houmayd An-Najdi Al-Hambali est né en 1236 et il est décédé en 1295 de l’Hégire (رحمه الله), c’est-à-dire il y a environ 140 ans. Il était le Moufti Hambalite de La Mecque.

  • Le Chaykh ‘Abdou l-Hayy Al-Kattâni a dit de lui : « Il est le Moufti des Hambalites à La Mecque, l’illustre savant (‘allâmah) » [Fahrasou l-Fahâris]
  • Le Chaykh Mouhammad Jamîl Ach-Chati a dit à son sujet : « Le Moufti Hambalite de La Mecque honorée, l’imâm, l’illustre savant (‘allâmah), le faqîh (spécialiste de la jurisprudence), le Mouhaddith (spécialiste de la science du hadîth) » [Moukhtasar Tabaqâtou l-Hanâbilah]
  • Le Chaykh ‘Abdou l-Lâh Mourdâd Abou l-Khayr a dit le concernant : « L’orateur (khatîb), l’Imâm, l’enseignant de la Mosquée Sacrée de La Mecque, l’illustre savant (‘allâmah), il fait partie des hommes précieux de son époque, il était connaisseur dans les hadîth, la poésie et l’ensemble des sciences religieuses » [Moukhtasar Nachri n-Noûr wa z-Zouhd]
  • Son élève le Chaykh Sâlih Bassâm a dit de lui : « Le savant, Al-‘Allâmah (l’illustre savant), la mer de connaissance » [En fin du manuscrit du livre As-Souhoubou l-Wâbilah]

– Dans son livre « As-Souhoub al-Wâbilah ‘alâ Darâ’ih Al-Hanâbilah » (Les nuages de pluie torrentielle sur les tombes des hambalites), le Chaykh Ibn Houmayd a répertorié plus de 800 biographies de savants et savantes de l’école de jurisprudence de l’Imâm Ahmad Ibn Hambal.
Parmi ces biographies, nous ne trouvons pas la biographie de Mouhammad ibn ‘Abdi l-Wahhâb, bien que le Chaykh Ibn Houmayd soit décédé 80 ans après lui. Cela signifie que Mouhammad Ibn ‘Abdil-Wahhâb n’était pas considéré comme un homme de science par les savants de son époque et de sa région. Cependant nous retrouvons la biographie du Chaykh ‘Abdil-Wahhâb [Le père de Mouhammad ibn ‘Abdi l-Wahhâb] d’où provient la citation ci-dessus.

– Sachez que contrairement à son père et à son grand père, Mouhammad Ibnou ‘Abdi l-Wahhâb duquel se réclament les wahhabites, n’était pas un homme de science, il n’était pas un faqîh (un spécialiste de la jurisprudence), il n’était pas un mouhaddith (c’est-à-dire de ceux qui transmettent le hadîth) et il n’était pas un nahwi (un grammairien de la langue arabe). C’est pour cela que les savants qui ont composé dans l’énumération des biographies, des savants Hanbalites n’ont pas inclus Mouhammad Ibn ‘Abdi l-Wahhâb dans le nombre des savants Hambalites, les seuls qui ont fait son éloge, ce sont ceux qui l’ont suivi et il n’y a aucune considération à donner à cela.

– A travers ce témoignage historique nous ne pouvons nous empêcher de faire le parallèle évident entre Mouhammad Ibn ‘Abdi l-Wahhâb et ses adeptes de notre époque qui eux aussi ne veulent pas apprendre la science de la religion de manière correcte ; qui n’acceptent pas les paroles des savants hormis celles de Ibn Taymiyah, Ibn Al-Qayyim et les leaders récents du Wahhabisme ; qui déclarent mécréants ceux qui s’opposent à leur religion wahhabite tout en déclarant leurs sangs licite ; et qui utilisent la violence et des méthodes fourbes pour imposer leur doctrine.

– Ceci au point que de nombreux savants ont désigné les wahhabites comme étant les Khawârij de notre époque. Parmi eux :

  • Le Sultân Mahmoûd II ;
  • Le Moufti de Médine, le Chaykh Mouhammad Al-Kourdi ;
  • L’Imâm Ibnou ‘Âbîdîn Al-Hanafi [Dans son livre Raddou l-Mouhtâr] ;
  • Le Qâdî ‘Outhmân Ibnou Mansoûr An-Nâsiri ;
  • Le Moufti de La Mecque, le Chaykh Ahmad Ibnou Zayni Dahlân ;
  • Le Chaykh ‘Abdoul-Lâh Al-Qaddoûmi An-Nâboulouçi Al-Madani Al-Hanbali ;
  • Le Chaykh As-Sayyid ‘Abdou l-Lâh Ibnou Haçan Bâchâ Ibnou Fadl Bâchâ Al-‘Alawi Al-Houçayni Al-Hijâzi ;
  • Le Chaykh Ahmad As-Sâwi Al-Mâliki Al-Misri [Hâchiyatou s-Sâwi ‘alâ tafsîr al-Jalâlayn]
  • Le Chaykh Ahmad Raza (Ridâ) Khân ;
  • Un groupe d’environ trente savants (Imâms, Mouftis, Orateurs…) du Masjid Al-Harâm (grande mosquée de La Mecque) et de la mosquée du prophète (صلى الله عليه وسلم) à Médine, dans un document à destination de Mouhammad ‘Ali (gouverneur d’Egypte) pour le remercier de leur avoir envoyé une armée musulmane pour combattre les rebelles wahhabites. Dans cette lettre là ces savants définissent les wahhabites comme étant des Khawârij et des mécréants (moulhidîn).
  • Et bien d’autres…

– Les Khawârij sont une autre branche déviée qui se réclame de l’Islâm. C’est le premier des groupes égarés qui est apparus après le décès du prophète (صلى الله عليه وسلم). Les Wahhabites sont semblables aux Khawârij dans le fait de :

  • déclarer mécréant la masse des musulmans.
  • prendre les versets non-explicites selon leur sens apparent.
  • Combattre les musulmans par les armes.

– Depuis la fondation de leur mouvance sectaire, il y a moins de 300 ans, les wahhabites se sont tristement illustrés pour des massacres et des tueries de masse, principalement à l’encontre des musulmans, comme en témoignent les ouvrages des savants de l’islâm. Parmi eux nous pouvons citer :

  • Le Chaykh As-Sâwi Al-Mâliki qui a dit : « Il a été dit que ce verset (il parle du verset 6 de Soûrat Fâtir) a été révélé sur les Khawârij ceux qui falsifient l’interprétation (ta-wîl) du Livre et de la Sounnah et qui se rendent par cela permis le sang des musulmans et leurs biens, comme nous constatons à présent dans leurs manières d’agir ceux d’un groupe du Hijâz qui sont appelés les Wahhabites qui pensent être sur la vérité alors que ceux sont eux les menteurs, le Chaytân a eu emprise sur eux et leur a fait oublier le rappel de Allâh, certes ils sont le parti de Chaytân et certes le parti de Chaytân est le perdant et nous demandons à Allâh qu’Il les extermine jusqu’au dernier. » [Hâchiyatou s-Sâwi ‘alâ tafsîr al-Jalâlayn]
  • L’Imâm Ibn ‘Âbidîn qui a dit : « Il est suffisant qu’ils soient convaincus de la mécréance de ceux qu’ils combattent, comme cela s’est produit à notre époque avec les disciples de [Mouhammad Ibnou] ‘Abdi l-Wahhâb, qui ont émergé du Najd et pris le contrôle des deux sanctuaires (La Mecque et Médine). Ils prétendaient suivre l’école Hanbalite, mais ils croyaient qu’eux seuls étaient musulmans, et que tous ceux qui s’opposaient à leur croyance étaient des associateurs (mouchrikoûn). Sur cette base, ils ont légitimé le meurtre des gens de Ahlou s-Sounnah ainsi que de leurs savants » [Raddou l-Mouhtâr]
  • Le Moufti de La Mecque, Ibnou Houmayd qui a dit : « Car ce qu’il (Mouhammad Ibn ‘Abdi l-Wahhab) faisait quand quelqu’un le contredisait et le réfutait et qu’il était dans l’incapacité de le tuer au grand jour, il envoyait quelqu’un pour le tuer dans son lit ou dans le marché, de nuit, parce qu’il considérait mécréant tout ceux qui était en désaccord avec lui et il rendait licite son assassinat.» [Voir ci-dessus]
  • Le Moufti de La Mecque, Ahmad Ibn Zayni Dahlân qui a dit : « Lorsque les wahhabites apprirent la nouvelle, ils attaquèrent brusquement la muraille et ils ne rencontrèrent pas de résistance capable de les combattre et de les repousser. Un groupe d’habitants de Tâ-if avant cela avait prit la fuite mais la cavalerie les avait rejoint et les wahhabites les tuèrent ; seul un petit nombre fut épargné. Lorsqu’ils entrèrent dans AT-Tâ-if, ils se livrèrent à une tuerie générale des gens, les adultes et les jeunes, ceux qui sont commandés comme ceux qui commandent, les notables et les gens du commun. Ils égorgèrent même le nourrisson sur la poitrine de la mère ; ils montaient dans les maisons, faisaient sortir ceux qui s’y réfugiaient et les tuaient. Ils trouvèrent un groupe qui étudiait le Qour-ân et les tuèrent du premier au dernier. Ils massacrèrent tous ceux qui s’étaient réfugiés dans les maisons. Ensuite ils allèrent vers les boutiques et les mosquées et ils tuèrent les gens qui s’y trouvaient. Ils tuèrent l’homme dans la mosquée alors qu’il était dans l’inclination ou dans la prosternation jusqu’à l’extermination de tout ce monde ; alors malheur à eux de la part du Tout Puissant qui détient les cieux par Sa puissance. Il ne resta des gens de Tâ-if (c’est-à-dire des combattants de cette ville) qu’un groupe d’un peu plus de 20 personnes» [Oumarâ-ou l-Baladi l-Harâm]
  • Le Moufti de La Mecque, le Chaykh Ahmad Ibnou Zaynî Dahlân a dit : « Les wahhabites interdisent l’invocation en faveur du prophète (صلى الله عليه وسلم) depuis les manâbir (pl.minbar) après l’appel à la prière (adhân), au point où il y avait un homme vertueux qui était aveugle, il faisait l’appel à la prière, et réalisait l’invocation en faveur du prophète (صلى الله عليه وسلم) après le adhân, et ceci après que les wahhabites l’aient interdit, alors ils l’ont pris et l’ont emmené jusqu’à Mouhammad Ibnou ‘Abdi l-Wahhâb qui a ordonné qu’on l’exécute, et il fût tué » [Dans son livre Fitnatou l-Wahhâbiyyah (la discorde des wahhabites)].

– Et cela se perpétue jusqu’à notre époque avec Daech qui est un mouvement wahhabite, tout comme le reconnaissent eux même les leaders de la mouvance. Ainsi, dans une interview accordée à la chaîne MBC et diffusée le 22 janvier 2016, Al-Kalbâni (wahhabite) a dit : « Daech suit le Salafisme [c’est-à-dire la doctrine wahhabite] […], l’idéologie que suit Daech est l’idéologie Salafi [wahhabite], ce n’est pas celle des Ikhwâniyyah, ni celle des Qoutbiyyah, ni celle des Soûfiyyah, ni celle des ach’ariyyah, mais ils tirent leurs idées de ce qui est écrit dans nos propres livres, de nos principes mêmes » [voir l’article : ici]

Avertissement : Les wahhabites utilisent l’appellation trompeuse de “Salafisme” pour définir leur mouvance. Ainsi, par cette appellation mensongère, les wahhabites tentent de faire croire qu’ils seraient sur la voie des gens du Salaf. Or, les wahhabites ont une croyance opposée à celle des gens du Salaf sur de nombreux sujets tels que les fondements de la croyance, le jugement de l’innovation, la récitation du Qour-ân en faveur des morts musulmans, la pratique du tawassoul et du tabarrouk et de nombreux autres sujets [Retrouvez plus d’informations dans la rubrique “les sectes” : ici]. Ainsi, il n’est pas permis d’appeler ces gens “Salafi” car ils ne sont pas sur la voie du “Salaf”. Depuis leur apparition, les musulmans leurs ont attribué l’appellation de “Wahhabite” en référence au fondateur de leur groupe : Mouhammad Ibnou ‘Abdi l-Wahhâb.

– Retrouvez sur notre site d’autres mises en gardes des savants de Ahlou s-Sounnah contre la secte wahhabite :

– Retrouvez la rubrique sur les groupes égarés : ici.

1 Commentaire

    • AMIRI sur février 28, 2014 à 12:28 pm
    • Répondre

    assalam anlaykoum, si possible envoyez moi ce cours en version PDF dans ma boite mail. baraka-Lah fikoum

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